Charmante petite ville accueillante avec ses rues étroites, très propres qui a une histoire avec ses peintres et artistes. Les galeries d'art sont nombreuses et c'est un régal pour les yeux!
Une vue magnifique lorsque l'on se trouve sur les remparts.
Une belle découverte pour petits et grands. Partis pour y rester une petite heure nous y avons passé plus de 2h tellement c'était intéressant.
On apprend vraiment beaucoup de choses sur le moyen-âge, la personne qui guide la visite est un vrai passionné !
Nous recommandons vivement.
Dommage pas entretenu , ça serait intéressant de refaire les mûr avec les jeunes locaux ou village voisin il y a un potentiel énorme 😒 touristique qui peut faire du bien aux villages mitoyen
Magnifique village. Des parkings sont situés à proximité, permettant de se garer sans difficulté. Point de départ de randonnées dans la campagne environnante. Plusieurs restaurants sur place.
FORMIDABLE !! Nous pensions que la visite serait un peu inutile malgré qu’elle soit obligatoire pour entrer dans le fort. Mais non ! Elle a été plus qu’intéressante, à travers tout le fort les explications étaient claires avec beaucoup de touches d’humour !
Une vraie balade agréable avec une très belle vue sur tout le littoral !!
Un lieu très émouvant. Ce mémorial situé à côté de l'abbaye rend hommage aux vingt soldats canadiens prisonniers de guerre qui furent torturés puis exécutés en ces lieux par l'armée allemande en juin 1944. Ces soldats reposent dans deux cimetières militaires canadiens. (Bény sur Mer et Bretteville sur Laize). A l'entrée vous trouverez dans une boîte un fascicule gratuit racontant leur histoire. (Photos et biographie).
Nous y sommes accéder par le bas de la colline la monter du dur et surprise des biquettes qui mangent tranquille.
C est claire sa surprend
Le site est vraiment sympa
Il faut tout de même faire très attention
Il c est mis à pleuvoir du coup on a vu que le bunker principal il y en à d autres en arrière pas très loin sa vaut le coup de y aller
Un site de mémoire correspondant à un point fortifié de défense allemande au nord de Pozieres, installé dans un ancien moulin, et que, malgré le feu roulant d'artillerie de l'attaque du 2 juillet 1916 marquant le début de la Bataille de la Somme, les autraliens ne prirent que le 4 août 1916, avec de très lourdes pertes