Cette église, construite au 12è siècle, modifiée au 16è siècle, fut détruite par un ouragan au 18è siècle. Ces ruines, protégées par les Monuments Historiques (inscrite le 5/12/1944 et classées le 9/4/1946), ont été préservées et mises en valeur. Le cimetière qui leur sert d'écrin abrite la sépulture de l'écrivain Hervé Bazin (1911-1996). J'ai trouvé l'endroit simple et émouvant par son authenticité.
L'allée s'étire sur près de 15 m de long, étant délimitée par dix-huit orthostates en grès. Selon la légende, l'édifice était habité par des nains malfaisants et des lièvres fantastiques. Les paysans rapportaient aussi que les fées y renfermaient le bétail qui s'en approchait trop près et que des bruits étranges s'en échappaient. Il faut bien avoir l'œil sur les panneaux en bord de route pour ne pas rater la bifurcation vous amenant à l'allée couverte de la Bertinière !
Immense... Et très bien situé dans les hauteurs du village de Nages, ce qui es regrettable c'est le manque d'entretien du site, la mairie à un petit bijou, mais ne s'en occupe pas..
Un pur moment de nature.endroit à découvrir absolument. Après quelques efforts de marche selon d ou vous arrivez,Vous découvrirez un site ou vous pourrez laisser votre imagination vous guider dans ses vestiges très bien conservés. Un très beau point de vue. Une balade odorante et pure. Un seul petit bémol il aurait judicieux d avoir quelques panneaux explicatifs.
Tour médiévale faisant partie des remparts de la Cité, ainsi que de l'ancien évêché détruit vers 1800. Il est dommage que ce patrimoine important de la commune soit laissé dans un délabrement total, la végétation et les pigeons y règnent.
La Charteuse de Sainte Croix en Jarez est un ancien monastère, on peut visiter le site en groupe, en famille ou individuellement. Une visite intéressante sur la vie des moines autrefois.
Il est extrêmement émouvant de se trouver sur ce site, en pensant à tous les garçons qui gisent perdus au nom de leurs familles sous ces champs. Vraiment un site sacré. DÉCHIRER. De peur que nous n’oublions.